Promotion d’un avenir radieux pour toutes-s : le CCIB plaide pour une autonomisation socio-économique des femmes
Les Hommes naissent libres et égaux en droits. Autant les hommes ont des droits, autant les femmes en ont également. Seulement l’on a tendance à écarter les femmes lorsqu’il s’agit d’évoquer les questions de droits si fait que d’aucuns pensent qu’elles n’en détiennent même pas. Pourtant l’islam accorde une place et pas des moindres à la gent féminine.
Le prophète Muhammad (sur lui la paix et le salut de Dieu) aurait d’ailleurs dit que « s’il lui était permis de faire une discrimination entre les enfants, il aurait privilégié la jeune fille » du fait des égards que l’islam aurait établit la concernant.
Alors, le Centre culturel islamique du Burkina pour le Dialogue et le Vivre ensemble (CCIB), à travers son projet Djama Béog Néré, propose des émissions en lien avec des thématiques d’actualité. Ainsi, il s’est spécifiquement penché sur le thème « Rôle de l’autonomisation économique dans l’épanouissement de la femme » dans une émission décortiquée par l’imam Dr Inoussa COMPAORE.
Aborder donc les droits de la femme, c’est évoquer les questions d’éducation, de travail, etc. au point que l’on puisse relever que la femme a droit à l’ensemble des droits fondamentaux que l’homme peut en bénéficier, rapporte l’imam COMPAORE. Or, « une répartition plus ou moins injuste ou inégalitaire des tâches dans les familles ne favorisent même pas l’éducation des filles » et par ricochet n’honorent pas les porteurs de foi, confie l’imam.
De la propriété privée de la femme
La présente thématique soulève également l’épineuse équation de propriété privée de la femme. Pourtant, lorsque l’on parcourt le livre de Dieu à savoir le coran, dans les lignes qui évoquent l’acquittement de la zakat, il est fait mention de « ceux et celles qui donnent de leurs biens » interpelle Dr COMPAORE, pour ainsi rappeler de l’insistance explicite d’une possible détention de patrimoine par la femme.
Retrouver toute la substance de l’émission :